Une brève enquête sur les caméras embarquées sur des animaux, par le biais de la caméra subjective au cinéma et des images opératoires scientifiques. Quel accès à l’identité a-t-on par l’extériorité d’un corps mobile ? Quels modes de rapport entre humain et non-humain permet un contact visuel et tactile qui se joue à l’épiderme ?
A brief enquiry on animal-borne video cameras through subjective shots in cinema and scientific imagery. What do we know of the identity through the moving body ? What kinds of relationships between human and non-human is there when the only contact is deemed to the surface ?